1ère fois....

Rita adorait cette boutique. Elle en avait tellement entendue parler par ses parents qu'elle voulait absolument y jetter un coup d'oeil.
Elle se décida au bout de 10 minutes et rentra timidement dans la boutique

Cela faisait un bail qu'elle attendait là toute seule au beau milieu de la boutique. Celle ci était vraiment sordide. Des cranes étaient entassés ça et là, des bocaux étaient remplis de vermine indéterminable, de vieux livres poussiéreux cotoyaient des candelabres moisis.

Un médaillon qui était posé nonchalament sur une petite table près d'une vague bibliothèque attira son attention. Elle s'approcha doucement en regardant de tous côtés s'il n'y avait personne pour la voir.

Fleur r'entras dans cette petite boutique avec des crânes,des squelette ect.Elle,elle n'aimait pas beaucoup traînner dans c'est boutique.Quand elle vu Rita Patronus.Mais elle décisas de la laisser tranquille.Fleur achetas deux crânes de squelette pour son père.Elle était oubliger.Quand elle vu Rita s'approcher d'un médaillon elle l'avertissas de pas y toucher.

NONNN...Y TOUCHEEEEEEE PASSSSSS...

Fleur se sentais gêner de le dire devant un proffesseur.Elle,elle n'iamait pas vraiment faire la chef devant un proffesseur.

Rita vit Fleur débarquer dans la boutique. Cela lui donna l'impression de voir arriver une gazelle au milieu d'une troupe de lions.

*mais qu'est ce qu'elle vient faire ici, celle-là ?! Elle devrait être en train d'être dans un dortoir bien douillet de Poudlard, plutôt que de trainer dans les rues malodorantes du quartier des Embrumes ! Il y a quelque chose de louche. *, pensa-t-elle.

Et comme Rita s'approchait du médaillon, elle entendit la remarque de Fleur et sursauta
"Quoi ?! Pourquoi ? ! ET puis qu'est ce que tu en sais ? Tu le connais ce médaillon ? "

Note : Pour la compréhension de l'histoire, je me permets de préciser que Rita qui est dans la boutique n'est pas le professeur mais l'élève. cf la référence aux parents faite plus haut.

Fleur lui expliqua

c'est le médaillon de la mort qu'il s'apelle

Fleur avait peur que Rita la trouve niaiseuse

mon père m'en a parler sa parait qu'il est malifique.Si tu le prends tu auras une malédiction

Rita était sceptique mais elle lui laissa le bénéfice du doute. Elle n'aimait pas les malédictions et non plus "les médaillons de la mort". Mais une idée lui traversa l'esprit

"ET comment ca se fait que ton père connaisse ce médaillon ???"

Fleur lui répondit tranquillement meme si elle était en colère.Fleur finie par lui expliquer.
Mon père le sais il la appris ici a cette école et si quelqu'un y touchas la malédiction seras, tu seras mort mais tu seras toujours comme moi et tu mouras de faim et de choiffle

Fleur disas à Rita Paronus

sa répond a ta question sa?

Rita n'arrivait pas bien à comprendre ce que lui disait son interlocutrice, pourtant elle faisait des efforts. Elle la regarda bizarrement. Surtout que Fleur était réputée pour prendre souvent le personnage des autres...

"Je serais morte ? Je serais comme toi ? Et je mourrai de faim et de soif ? Tiens, c'est bizarre... je ne savais pas qu'une simple amulette pouvait faire cet effet... Décidément cet objet m'interresse.

Elle laissa Fleur regarder l'amulette et rentra plus en avant dans la boutique

"Ohé...ohé ! Y a quelqu'un ?

*Décidément, il n'y a vraiment personne dans cette boutique... même pas un vendeur... on entre comme dans un moulin*

Rita regarda la pauvre Fleur Delacour qui restait bloquée sur l'amulette, bouche bée. D'un coup, elle la vit se redresser subitement et se précipiter sur un autre objet (une lampe pensa-t-elle) comme le choléra sur le bas-clergé. Elle la regarda avec pitié.

*Elle a bien changé cette Fleur... je ne sais pas trop ce qu'elle a. Elle a dû avaler trop de pilules encore...*

Hj: Pour le compréhension, moi aussi je viens en élève...
mdr Rita...

Narcissa était partie au chemin de traverse pour faire des achats à l'amalerie magique. Malheureusement pour elle, elle ne se souvenait plus du tout de l'endroit où se trouvait le magasin. Elle décida de demander à une personne plus agée qu'elle , et la première personne qu'elle vit avait l'air assez bizarre. Mais Narcissa , qui était encore jeune et ne se rendait pas compte du danger, ne fit pas attention à son apparence. Le personne lui indiqua un chemin très facile à retenir "la cinquième à gauche". Elle suivit ce chemin et quand elle arriva à destination, c'était dans un endroit sombre et glacial. Elle jeta un regard bref sur le magasin qui se trouvait à coté d'elle et y aperçu deux silhoutte qui lui était famillière. C'était Rita Patronus (un fille de Serpentard qu'elle haïssait) et Fleur Delacour. Elle jeta un regard bref à l'enseigne du magasin qui disait : "Barjow et Beurk". Elle avait déjà entendu parler de ce magasin. On disait souvent que les mangemorts le fréquentaient souvent. Sans aucun doute un magasin de magie noire!
Narcissa aimait couserdes ennuis à Rita et décida donc d'entrer pour lui parler. Elle entra et vir des cranes, un médaillon , des flcons et beaucoup d'autres choses. Elle se dirigea vers Rita et lui mit la main sur l'épaule. Celle -ci sursauta puis se retourna brusquement...

"Aaaaaaaaargh !!!!!!!!!!!!!!!"

Elle réalisa que ce n'était que Narcissa, lui rejetta violement la main de son épaule comme si l'autre avait la peste et de l'autre main elle tenait energiquement sa baguette qu'elle avait dégainée rapidement.

"Pfffffffuuit... Tu m'as fait une de ses peurs ! Je pensais qu'il y avait personne dans cette boutique mis à part l'autre pot de fleur..."bref coup d'oeil rapide en direction de la Delacour.

Elle recula d'un pas et la regarda de bas en haut.

"Qu'est ce que tu fais là ?"

Narcissa était plutôt contente de son effet de surprise. Elle jeta un regard en direction de Fleurk Dela(basse)cour à son tour, puis continua de regarder Rita intensemment. Quand elle eut entendu la question de Rita , elle répliqua presqu' aussitôt:

-J'allais te poser la même question... Moi je me suis simplement égarée, mais par contre TOI, tu n'avais pas l'air égarée du tout. Tu avais même l'air de d'interesser à la boutique!

Elle dévisagea Rira puis lui lança un regard sévère, brandissant l'insigne de préfète-en-chef qu'elle avait reçu.

[Dézoulé pour un message de si peu de lignes mais je ne vois pas de trop ce que je pourrais dire d'autre]

Percée à vue, Rita ne se démonta pas et prit ses grands airs.

"Mouaaa, Madame ? Je faisais tout simplement du shooopping."

Elle regarda l'insigne de préfète de Narcissa :
Ooooooh C'est quoi, ca ? C'est tout neuf ? C'est pas en chocolat, au moins ?

Elle changea de ton et prit un air sérieux et terrifiant
"Et ce n'est pas une merdeuse dans ton genre qui me dira ce qu'il faut faire. J'ai autant le droit que toi à venir où je veux et quand je veux. On est pas Poudlard ici ! Ton rôle de préfète ne m'impressionne pas.

Elle se retourna et fit mine de s'interesser à un casque mérovingien de sorcier qui était sur une table.
Elle tourna la tête vers Narcissa en affichant un sourire moqueur
Le petit chaperon bleu s'est perdue ? Toute seule ? Dans des endroits un peu lugubres ? T'aurais pas un peu la frousse, par hasard ?
Mouahahahahahah

hj : np. Tu fais comme les débutants maintenant ? Mouahahah (et ca c'est un rire diabolique) et comme aurait dit Fleur : JTKC mouahahahahah ! niark niark niark. (Edit : me suis pas foulée pour l'insigne mais boon...(/edit))

*Du shopping, mais quelle ... (tuuuuut ^^) comme si j'allais gober ce genre d'anneries.*

Elle la regarda d'un regard noir une fois de plus. En entendant la remarque très recherchée (:p) de Rita, elle lui répond du tac au tac:

-On répond aux imbeciles par le silence...Et tu sais ce qu'elle te dit la merdeuse? Ah non j'allais oublier, il ne vaut mieux pas que môdame le sache sinon elle va pleurer dans les jupons d'un de ces débiles de serpentards. C'est vrai, tu as le droit d'aller où tu veux mais la magie noire est punissable par la loi. Je vais bien m'amuser plus tard à te narguer en te rendant visite à Azkaban!

Elle observa ensuite Rita regarder un casque mérovingien de sorcier se trouvant sur une table.

-La frousse? Tu me prends pour qui ... Je n'ai pas peur des petites prétenxciseuses qui font tout pour se faire remarquer en allant dans un endroit de mangemort! Lui répliqua-t-elle en haussant la voix.

Rita la regarda menaçante, droit dans les yeux, les sourcils froncés

"Tes répliques à deux balles ne m'impressionnent pas, ok ?
Et si tu racontes un traitre mot de ce que tu as vu et que tu m'as vu ici, je te fais avaler ton balai, je fais un noeud avec ta robe et t'auras l'air d'une sucette géante, capish ?"

Rita prit sa baguette et commenca à faire leviter le casque mérovingien qui selon l'étiquette aurait appartenu à Fulbert le Peureux.

Le regard de Rita n'impressionnait guère Narcissa. Elle n'avait pas peur des Serpentards apprentis mangemorts.

-Oh tu crois me faire peur avec tes petites menaces? Sache que tu n'es pas celle qui me ferait taire!

Puis soudain, le casque mérovingien s'éleva à quelques mètres dans les airs. Narcissa brandit sa baguette en une fraction de seconde comme elle l'avait souvent fait au club de duel. Elle même étant responsable de l'Ad, elle connaissait beaucoup de sorts de défence.

-Expelliarmus!

Immédiatement, la baguette de Rita vola dans les airs pour retomber sur une étangère entre une main en squelette et une boule de cristal de couleur émeraude.

-Accio baguette de Rita

Le baguette vola à nouveau dans les airs mais cette fois ci pour retomber dans la main gauche de Narcissa. La situtation se reversait . Maintenant c'était Narcissa qui avait la main.

Oooooooooooh !

Rita regarda sa baguette s'envoler et attérir directement dans la main de Narcissa.
Elle la fusilla du regard

Très bien. Si ca t'amuse. Tu peux la garder... Elle t'apprendra beaucoup de choses que tu n'as jamais su faire.
J'ai beaucoup d'argent... je m'en racheterai bien une autre...

Elle croisa ses bras comme pour attendre une réaction de la part de Narcissa.

Narcissa eut un sourire diabolique.

-Très bien, vu que tu t'en fichez totalement et que je n'ai rien à apprendre de cette baguette, je ne vais pas m'en encombrer plus longtemps.

Elle prit la baguette, la cassa en deux elle la jeta aux pieds de Rita. Narcissa jubilait. Elle aimait tant voir Rita en colère, et casser sa aguette en deux lui avait fait le plus grand bien.

-Ca t'apprendra à aller dans des endroits pareils! Et si tu racontes ça à quelqu'un , tu devras bien dire que tu es allée chez Barjow et Beurk...

Narcissa ne vulait pas rester ici plus longtemps. Elle voulut faire demi tour quand elle sentit une main sur son épaule.

Noooooooooooooooooooon !

Quand elle entendit le son de SA baguette se casser, elle crut défaillir. Elle s'agenouilla pour récupérer les deux morceaux qui gisaient par terre.
Et se releva, les yeux embués. De fines larmes perlaient le long de ses joues.
JAMAIS, JAMAIS, on ne lui avait fait ça. Elle n'aurait jamais cru que Narcissa Jedusor irait jusque là.

La colère remplaça la tristesse.

Elle courut vers Narcissa, la retourna, l'empoigna de toutes ses forces et la propulsa contre une table remplis de chandeliers et d'objets en tout genre. Narcissa tomba sur le dos dans un grand fracas.

Ah non ! CA ! T'avais pas le droit ! CA ! NOOOOOON !

Elle saisit ce qu'elle trouva sous la main : un collier à boule incrusté d'opale qu'elle lança violement sur Narcissa.
Le collier d'opale tournoya en l'air et avant de toucher Narcissa, une lumière grise se répandit en faisceaux et souffla toute la pièce au point d'éblouir les deux élèves.
Rita se protégea les yeux de son bras mais s'évanouit sous le choc.

Quant à Narcissa, qui avait reçu plus intensément l'effet du collier, elle gisait sous les décombres.

(hj: ah non ! là eh ! j'y crois pas !! argh! ah la garce !
mais Je crains que la pauvre Narcissa finisse à la morgue... à moins qu'elle ne soit ressuciter par Albus...)

La main que Narcissa eut sur l’épaule était celle de Rita, en pleure. Sur ce coup là, elle avait agit d’une cruauté sans non, digne d’un acte de Serpentard. Narcissa n’avait jamais vu Rita s’énerver autant. Tout à coup , le monde se renversa aux yeux de Narcissa, Rita venait de l’empoigner et de la jeter comme un vulgaire chiffon sur une table. Son dos craqua un bon coup comme si quelque chose venait de se briser à l’intérieur. Une douleur insupportable l’envahit et ses yeux commencèrent à couler sous le choc. Elle eut à peine le temps de se rendre compte de la situation que Rita lui avait déjà lancer un collier à la figure. Une lumière aveuglante apparut alors et Narcissa eut la sensation de tomber d’une falaise. Son cœur s’était sans doute arrêter pendant quelques fractions de seconde.
Narcissa ne ressentait plus rien à l’intérieur de son corps . Toute douleur s’était dissipée , comme si on avait arraché son esprit de son corps. Pourtant, elle n’était pas encore morte , ce n’est pas maintenant qu’elle apercevrait la lumière au bout du tunnel mais si on ne faisait rien pour elle, ça ne tarderait pas. Rita allait –elle laisser mourir un être pour une simple histoire de baguette ? Si elle n’appelait personne, seul un miracle pouvait sauver Narcissa.

[Mais bien sûr, Rita NE VA PAS laisser mourir Narcissa, N’est-ce pas ? Mon perso est trop important :p Et tu ne savais pas que Narcissa était sadique ? (tout comme la personne qui lui fait jouer le rôle xD mais un peu moins quand même)]

Une lueur s'intensifia au bout du long couloir. Des tableaux des professeurs de Poudlard ornaient les murs mais ils avaient une expression diabolique. Rita marchait titubant essayant d'atteindre la lumière. Elle avait mal à la tête. Une massue de 10t lui aurait fait le même effet.
Le tunnel se déforma et prit l'apparence d'un losange comprimé dans un rectangle. Sa tête était lourde. Le Halo de lumière au fond s'intensifia. Tout tournait autour d'elle et Rita avait du mal à parcourir le chemin.
Tout à coup, elle fut aspirée vers l'éclat de lumière et une grande bouffée d'air emplit ses poumons. Elle se réveilla en sueur Sa robe lui collait et elle se sentait fatiguée. Un coup d'oeil lent lui fit contempler le désastre.

La salle était un gigantesque capharnaüm. Tables renversées, objets détruits soufflés et propulsés dans les murs. Certaines parois ne subsistaient que par attachement à d'autres pans de murs.

Rita se releva avec douleur et entraperçut un pied sous un amas d'objets et de tables cassées. Elle s'approcha, le secoua mais une résistance se fit sentir. Elle n'allait pas laisser Narcissa dans cet état là. Pourtant, son coeur se fit sombre et avec une grande répulsion, elle commenca à enlever les nombreux débris qui recouvraient le corps de Narcissa.

Narcissa était étendue là, par terre, sa robe mi-déchirée, inconsciente. Elle constata avec un intense plaisir proche de la satisfaction suprême que la baguette de Narcissa qui gisait à ses côtés était fendue du haut jusqu'au milieu.

Rita se rappela les propos de sa lointaine cousine "Ste-Rita-de-Ste-Mangouste" qui lui disait toujours : "Souvent, la méthode forte est encore la meilleure".

Elle se retroussa les manches et non sans grand déplaisir, gifla violemment Narcissa allongée à terre.